4h32 du matin. Le chant du muezzin annonce le lever du jour. Dans quelques heures le soleil brillera et nous fera transpirer. Rouler à la fraîche est tellement agréable que nous faisons comme les locaux : nous nous levons. Vive les vacances nous dit Luc !
Nous quittons le village où nous avons passé la nuit aux cotés des troupeaux de vaches et de leur berger qui les mènent paître dans les montagnes. Les couleurs, les sons et les odeurs de l'aurore sont un vrai plaisir.
Pour les premières vacances cyclistes de Luc, le parcours n'est pas de tout repos. Depuis la Cappadoce, nous roulons par monts et vallons dans une suite ininterrompue de grandes collines à la végétation brûlée par le soleil. Y vivre semble tellement rude qu'entre les villages, séparés de 10, 20, parfois 30 km, nous traversons des zones désertes.
11h21. Il fait déjà 40 degrés. Nous nous arrêtons dès le prochain village. Les hommes assis à la terrasse de la maison de thé du village sont curieux de savoir d'où l'on vient et où l'on va... Ils nous invitent à nous asseoir et nous offrent un thé. Les enfants arrivent alors en courant en criant « tourist, tourist ! » et forment un attroupement autour de nos bicyclettes : « what is your name ? », un petit coup sur les klaxons, un tâtonnement de la selle, un coup d’œil sur le compteur....tout est intéressant pour eux. Il faut souvent s'armer d'une grande patience avant qu'ils nous laissent tranquilles !
Chacun notre tour nous allons nous rafraîchir à la fontaine d'ablution de la mosquée (où les musulmans se lavent les pieds, les bras, la tête et la nuque avant d'aller prier). Ce midi nous avons trouvé de quoi nous faire du riz et de la ratatouille à la supérette du village.
Nos pauses de midi ont plutôt l'allure de journée de repos dans une journée de vélo puisque nous ne reprenons la route qu'une fois la température redescendue, c'est à dire vers 18h. C'est l'occasion pour faire une sieste, bouquiner, écrire ou apprendre quelques mots de kurde.
Nous quittons le village où nous avons passé la nuit aux cotés des troupeaux de vaches et de leur berger qui les mènent paître dans les montagnes. Les couleurs, les sons et les odeurs de l'aurore sont un vrai plaisir.
Pour les premières vacances cyclistes de Luc, le parcours n'est pas de tout repos. Depuis la Cappadoce, nous roulons par monts et vallons dans une suite ininterrompue de grandes collines à la végétation brûlée par le soleil. Y vivre semble tellement rude qu'entre les villages, séparés de 10, 20, parfois 30 km, nous traversons des zones désertes.
11h21. Il fait déjà 40 degrés. Nous nous arrêtons dès le prochain village. Les hommes assis à la terrasse de la maison de thé du village sont curieux de savoir d'où l'on vient et où l'on va... Ils nous invitent à nous asseoir et nous offrent un thé. Les enfants arrivent alors en courant en criant « tourist, tourist ! » et forment un attroupement autour de nos bicyclettes : « what is your name ? », un petit coup sur les klaxons, un tâtonnement de la selle, un coup d’œil sur le compteur....tout est intéressant pour eux. Il faut souvent s'armer d'une grande patience avant qu'ils nous laissent tranquilles !
Chacun notre tour nous allons nous rafraîchir à la fontaine d'ablution de la mosquée (où les musulmans se lavent les pieds, les bras, la tête et la nuque avant d'aller prier). Ce midi nous avons trouvé de quoi nous faire du riz et de la ratatouille à la supérette du village.
Nos pauses de midi ont plutôt l'allure de journée de repos dans une journée de vélo puisque nous ne reprenons la route qu'une fois la température redescendue, c'est à dire vers 18h. C'est l'occasion pour faire une sieste, bouquiner, écrire ou apprendre quelques mots de kurde.